Tout champion sait que sa carrière sportive est de courte durée. Certains préparent leur reconversion dans leur jeunesse, d’autres reprennent leur étude à leur retraite sportive, parfois pour devenir salarié ou chef d’entreprise.

Par exemple, Emilie Le Pennec, championne olympique aux barres asymétriques, est masseuse-kinésithérapeute à Paris ou Taïg Khris, champion du monde de roller sur rampe, a créé une start-up dans les télécommunications.

Après une magnifique carrière de footballeur (champion du monde, champion d’Europe, Soulier d’Or, …), Thierry Henry reprend ses études pour un diplôme d’entraineur sportif et devient consultant à la télévision.

Quant à Edgar Grospiron, champion olympique et champion du monde en ski de bosses, il devient conférencier pour les entreprises afin de faire de son expérience un outil de transmission.

Ténacité, résilience, résistance au stress, capacité à se fixer des objectifs sont les qualités développées par les champions qui peuvent s’appliquer aux entreprises.

• Ténacité : Chaque jour, un sportif de haut niveau s’entraîne afin d’être prêt pour les grands rendez-vous.
• Résilience : une carrière sportive est faite de hauts et de bas, alors la persévérance est de rigueur … comme c’est le cas pour les chefs d’entreprises, notamment face aux crises comme celle que nous avons connu avec le coronavirus.
• Résistance au stress : un sportif de haut niveau est soumis à un stress intense lors des grandes échéances mondiales ou olympiques ce qui lui permet ne pas perdre ses moyens au moment de convaincre des clients.
• Capacité à se fixer des objectifs : La capacité à atteindre ses objectifs est clef. Sportifs et entreprises s’organisent en mode projet afin de définir leurs priorités et être prêts à temps.

Tous ces grands champions qui nous font rêver peuvent être une vraie source d’inspiration pour notre manière de travailler.

Une autre façon de joindre l’utile à l’agréable !